HISTOIRE DE TROUS
Depuis quelques jours, le mot à la mode à Saint Loup, c'est le mot TROU.
Les rues, les trottoirs, les fuites d'eau, le budget... La ville de Saint Loup est remplie de TROUS. Et qui va devoir les boucher?
Le froid intense, les épisodes neigeux des derniers jours permettent aux TROUS qui parsèment la cité de fleurir en avance sur le printemps. Il suffit de se promener dans les rues de la ville pour constater que nous vivons dangereusement. On ne compte plus les fuites qui mettent en danger l'approvisionnement en eau, les TROUS qui mettent en danger les piétons, les cyclistes et les automobilistes trop rapides qui endommagent leur suspension.
Avec les TROUS qui s'additionnent, les TROUS financiers des budgets , nous sommes au bord du TROU.
Pour nous empêcher de tomber dedans, depuis ce matin, deux équipes sillonnent la ville pour boucher les plus importants à l’aide de huit tonnes d’enrobé qu’il a fallu aller chercher à Vesoul. Tout le monde s’accorde à dire qu’il ne s’agit que de rustines et que dans peu de temps d’autres TROUS se reformeront à proximité des anciens.
Les grosses réparations prévues sont coûteuses : Rue Romaine, 60 000 €, Rue Pierre Curie 40 000 €, Rue des Capucines, Rue du Roupoix , Impasse Bellevue et Rue de l’Etang dont la réfection est promise depuis des années… J’ai oublié les trous dans les cours d’école.
Reste une question essentielle : Comment boucher des TROUS sans aggraver le TROU budgétaire ?
Vous pouvez toujours participer à la chasse aux TROUS en téléphonant en mairie pour en signaler un nouveau et retrouver le moral en méditant cette citation de Cavanna
" Aussi grand que soit un TROU, il y a toujours quelque chose autour."